Madame la secrétaire d'État, nous prenons acte aujourd'hui de vos paroles selon lesquelles vous n'exclurez pas les parlements nationaux de cette discussion, ce qui est essentiel.
Vous avez rappelé les trois clauses que la France exige, et c'est à vous, Gouvernement, de défendre au Conseil les agriculteurs français et la France. La commission des affaires européennes, que je préside, y veillera. §