J'entends l'argument de la souplesse.
Il y a beaucoup de souplesse pour le capital dans ce pays ! Je m'excuse de me répéter, mais 160 milliards d'euros sont offerts chaque année, avec beaucoup de souplesse : ils ne sont conditionnés ni au maintien de sites industriels, ni à l'emploi, ni à la décarbonation, ni aux salaires, ni aux qualifications. Pour les salariés qui subissent, eux, la souplesse est bien moindre.