Il faudra que le règlement de l’Assemblée nationale prévoie ce qui se passe dans ce cas-là.
En effet, si le ministre pousse une charge terrible contre l’auteur d’un amendement, il est tout de même impensable de ne pas reconnaître un droit de réponse au collègue intéressé, ne serait-ce que deux minutes, pour lui permettre de se justifier.
Mais c’est une question qui ne pourra pas être éludée par le règlement de l’Assemblée.