Tout d'abord, on se demande pourquoi cet amendement vise à circonscrire cette obligation à la seule Polynésie française.
Par ailleurs, s'agissant de matières premières stratégiques, il nous semble très important de limiter le plus possible notre dépendance vis-à-vis de l'extérieur.
La commission sollicite donc le retrait de l'amendement. À défaut, elle émettra un avis défavorable.