Monsieur le sénateur, pensez-vous un seul instant que les services de Bercy, d'un côté, la direction des affaires financières, les états-majors, la sous-chefferie « plan » du ministère des armées, de l'autre, se sont trompés ?
Vous connaissez leur sérieux et je suis aussi là pour défendre le travail accompli par des centaines d'agents depuis deux ans sur cette programmation militaire. Croyez bien qu'au regard des sommes qui sont en jeu, ils n'ont pas oublié de calculer l'inflation !