…voire, hélas, à annuler ou à redéployer des actions telles que l’accompagnement des soins palliatifs. Nous pensions pourtant tous qu’il s’agissait d’une priorité nationale. Dans le contexte actuel, cette situation est malsaine.
Je pourrais encore évoquer les baisses de moyens dégagés dans le cadre de la prévention des risques infectieux et des risques liés aux soins.
Ainsi, pour le VIH-sida, ces moyens diminuent de 20 % : ils s’élèvent à 37, 75 millions d’euros contre 47, 32 millions d’euros en 2008.