J'entends votre réponse, madame la ministre.
La prochaine mouture du plan national d'actions sur le loup devra tenir compte de la spécificité des territoires bocagers, comme la Saône-et-Loire, pour lesquels la protégeabilité est une véritable question. À défaut, c'est l'élevage qui, à terme, sera menacé.
Puisque vous êtes chargée de l'égalité des chances, vous devez savoir que la brebis et le loup ne sont pas sur un pied d'égalité ! §Nous devons absolument protéger nos élevages. Il y va non seulement de notre souveraineté alimentaire, mais aussi – en Saône-et-Loire, nous en sommes convaincus – de la biodiversité, à laquelle contribuent les éleveurs.