Monsieur le ministre, j’ai rappelé dans mon intervention et écrit dans mon rapport que vous vous étiez efforcé d’apporter des réponses à nos interrogations et que nous avions apprécié le travail qui avait été mené.
Nous aurions néanmoins souhaité que votre travail, notamment les décisions prises au mois de juin, trouve une traduction plus rapide. Il était alors apparu possible de concrétiser la transformation d’une partie de la mission. Or ce ne fut pas le cas.
C’est pourquoi la commission avait émis une réserve, que j’accepte bien sûr de lever, avec M. le président de la commission des finances.
Je souhaite que l’on parvienne en 2010 à des résultats concrets. Sinon, nous perdrons en efficacité.