Les organismes de repérage et d’accompagnement des personnes les plus éloignées de l’emploi feront partie du réseau France Travail, ils sont donc appelés à travailler avec les entreprises adaptées et à orienter vers celles-ci les personnes dont les besoins le justifient.
Pour autant, il ne paraît pas souhaitable de les former spécifiquement à ces seuls dispositifs, alors que leur activité nécessitera de recourir à l’ensemble des acteurs et des dispositifs du service public de l’emploi et de l’insertion sociale.
À cet égard, la participation au réseau et son animation à l’échelle de chaque territoire semblent être préférables à la définition d’une liste figée dans la loi.
L’avis de la commission est donc défavorable sur ces trois amendements.