J’abonderai dans le sens de M. Savoldelli.
Le président de mon groupe, Patrick Kanner, avait lui aussi écrit à la Première ministre pour lui demander l’organisation d’un débat, en application de l’article 50-1 de la Constitution. Les jours ont passé, sans réponse. Et, hier, notre demande a été déclinée ; il nous a été indiqué qu’il fallait réfléchir…
Certes, c’est une très bonne chose de réfléchir. C’est pourquoi nous allons demander qu’après un délai de réflexion, c’est-à-dire à la rentrée parlementaire, le débat se tienne enfin. Vous l’avez noté, tout le monde débat de ce qui s’est passé en France, sauf le Parlement. Ce n’est pas normal !