Le secrétaire d'Etat nous dit que nous en sommes encore à parler de la réforme de l'assurance maladie de 2004. Eh bien, monsieur le secrétaire d'Etat, nous attendons de découvrir le montant réel des déficits !
Je rappelle d'ailleurs que les milliards d'euros qui ont été avancés pour combler le déficit ont été gagés sur la CADES ; ils seront remboursables ad vitam æternam par les futures générations. Nous aurons certainement l'occasion de revenir en détail sur le déficit structurel qui est en train de se creuser, mais, de toute évidence, ce sont les assurés sociaux présents et futurs qui feront les frais des mécanismes que vous avez mis en place.
Des négociations ont été menées qui ont débouché sur la signature de la convention médicale. Ce sera ensuite au tour des dentistes, et il ne faudra pas oublier les praticiens hospitaliers.