Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'Etat, mes chers collègues, tout en approuvant complètement les propos empreints d'une grande sagesse qui viennent d'être tenus par le président Jean Arthuis, je voudrais revenir sur quatre points qui me semblent importants et qui ne concernent d'ailleurs pas spécifiquement ce seul amendement.
Je rappellerai d'abord que la loi de financement de la sécurité sociale et la loi de finances demeurent des exercices très différents.
Leurs définitions sont très différentes.