Le contrat opérationnel, tel qu’il est fixé aujourd’hui, stipule que, tous les trois ans, la marine nationale doit patrouiller dans la zone économique de l’île de La Passion-Clipperton, laquelle s’étend sur 436 000 kilomètres carrés ; elle est plus importante que celle de l’Hexagone – Corse comprise –, qui représente 345 000 kilomètres carrés.
Comment peut-on être crédible et assurer raisonnablement la souveraineté de cette partie du territoire national en y en allant une fois tous les trois ans seulement ? Cette question doit nous faire réfléchir ! Disposer de moyens plus importants, qui seraient prépositionnés dans le Pacifique et en Polynésie française, nous permettrait d’assurer une souveraineté plus effective, …