Madame la présidente, je comprends que vous soyez vigilante au temps de parole, y compris à celui du ministre, et même s’il est illimité.
Premier point : l’argument du tonnage à la mer pourrait biaiser notre raisonnement à l’avenir, si l’on pense par exemple aux satellites ou aux drones, dont nous avons besoin pour les outre-mer. Je vous invite à comparer, pour la surveillance d’une ZEE, le poids d’un drone ou d’un satellite à celui d’un bateau – je cite à dessein des exemples que vous avez pris…