Le rapport Pisani-Ferry a fixé la trajectoire des dépenses nécessaires pour réaliser la transition écologique.
Il s'agit d'accompagner notre économie et nos entreprises, mais aussi de nous adapter aux aléas climatiques, ainsi qu'au choc de l'érosion de la biodiversité.
Le FMI a donné des indications qui s'inscrivent dans les mêmes ordres de grandeur.
Or il est évident que les plafonds de dépenses prévus dans ce projet de loi sont insuffisants.
Cet amendement est en cohérence avec l'intervention de Thomas Dossus en discussion générale.