a rappelé que les profits induits par la grippe H1N1 se répartissaient entre trois secteurs : la production de vaccins - qui représente la partie la plus importante - la production d'antiviraux et, dans une proportion sans doute plus anecdotique, la production de gels, de masques, etc.
Pour ce qui est des vaccins, il est difficile de faire un point exact, compte tenu des annulations partielles des commandes dans beaucoup de pays. Hors grippe pandémique, le marché des vaccins représente environ 20 milliards de dollars par an. Il serait donc étonnant que la « pseudo-pandémie » ait accru la production de manière à permettre un supplément de bénéfices de cette importance.