a indiqué que chaque Etat avait discuté avec différentes entreprises dans le cadre de la préparation d'une éventuelle pandémie H5N1. Le Royaume-Uni et l'Allemagne avaient ainsi négocié des accords avec GSK, mais non la France, qui s'était pour sa part adressée à Sanofi Pasteur et à Novartis. Dans un contexte où il était nécessaire d'obtenir la production rapide de doses par GSK pour la France, le prix proposé de 7 euros ne semblait pas excessif, car il était le même que celui qui figurait dans les contrats passés en mars 2006 entre GSK et le Royaume-Uni et l'Allemagne, et la France avait été dispensée de droits de réservation, contrairement à ces deux pays. Ce tarif était par ailleurs assez proche du prix des vaccins saisonniers.