a considéré que, face à l'impact économique des pandémies, que l'on peut mesurer par exemple au Mexique, de nombreux Etats pourraient avoir intérêt à ne pas communiquer sur l'ampleur d'une attaque virale. Elle a relevé que le choix du secret fait par l'OMS ne correspond pas à la pratique française en la matière mais qu'il n'y a, a priori, aucune raison de remettre en cause l'indépendance des experts choisis. L'OMS révèlera leur identité dès qu'elle aura déterminé la fin de la situation d'urgence.