a relevé que le terme d'« aléas potentiels » était tout à fait adapté aux modélisations, au regard du potentiel de variabilité et de mutation du virus. Les travaux réalisés s'appuient sur les seules expériences précédentes de la grippe saisonnière. Pour chacune des modélisations effectuées, elle a rappelé qu'il s'agit d'hypothèses basées sur la connaissance du virus.