a rappelé que, quelle que soit leur situation au regard du séjour, les étrangers étaient soignés et leurs enfants scolarisés. Il a estimé que le problème le plus délicat en outre-mer était celui de l'habitat. Il a relevé l'existence de difficultés foncières ainsi que le fait que nombre d'habitats illégaux avaient été construits sur le domaine public maritime. Il a jugé nécessaire de régulariser ces habitats, relevant qu'à Mayotte cela permettrait également aux communes de disposer d'une ressource fiscale.
Il a souligné que les départements d'outre-mer faisaient l'objet de programmes de rénovation urbaine importants, évoquant les opérations menées par l'Agence nationale de rénovation urbaine (ANRU) à Fort-de-France, Pointe-à-Pitre et Cayenne.