a souligné que la France avait décidé d'augmenter son aide aux Comores dans un cadre à la fois bilatéral et européen. Il a reconnu qu'il ne suffisait pas d'apporter de l'argent mais qu'il importait également de s'assurer de la réalisation effective des projets. Enfin, il a précisé que l'Agence française de développement avait pour objectifs prioritaires le développement des capacités sanitaires et agricoles de l'île d'Anjouan et que l'aide bilatérale de la France aux Comores se traduirait par l'octroi de 40 millions d'euros, sous forme de dons, au cours des cinq prochaines années.