Par ailleurs, au nom du respect des organisations syndicales, vous avez refusé cette après-midi et ce soir – le débat a finalement été rapide – de discuter des revalorisations salariales. Pourtant, celles-ci accordent réellement de nouveaux droits à ceux qui en bénéficient.
De plus, vos différentes mesures auront des effets négatifs. Vous n'arrêtez plus de priver la sécurité sociale de ressources essentielles ! Vous ne supportez même plus l'idée même de cotisations sociales.
Finalement, avec ce texte, vous n'ouvrez aucun droit aux salariés. Vous prétendez que le Gouvernement est du côté du paritarisme : si ce n'était pas aussi triste, ce serait risible.