Le présent amendement vise à rétablir la trajectoire adoptée par l’Assemblée nationale, à propos de laquelle nous réaffirmons nos prévisions macroéconomiques, qui – je le répète – ne sont pas trop optimistes.
Dans le cadre de la définition de la trajectoire de nos finances publiques, j’y insiste, l’effort fait par l’État est nettement supérieur à celui des collectivités territoriales lorsque l’on considère les dépenses hors charge d’intérêts de la dette publique : pour l’État, les dépenses baisseront de 0, 9 % par an en volume d’ici à 2027, contre 0, 3 % par an pour les collectivités territoriales sur la même période.