Monsieur le sénateur, je vous renvoie aux estimations de l’OFCE et du FMI, qui évaluent notre croissance potentielle à 1, 3 %.
Pour ce faire, tous deux intègrent les effets de nos réformes structurelles, qui vont continuer : la réforme du revenu de solidarité active (RSA), la réforme de France Travail, celle du lycée professionnel, celle de l’apprentissage…
Ce sont donc deux instituts très différents qui confirment les hypothèses retenues par le Gouvernement.