Madame la secrétaire d’État, ces conventions bilatérales sont un outil protecteur pour nos ressortissants et pour les entreprises françaises à l’étranger. Je sais que vous en êtes convaincue vous aussi : en témoigne le travail que votre cabinet consacre actuellement à certains de ces accords.
À ce titre, je suis à votre disposition, ainsi que nos conseillers des Français de l’étranger, qui se trouvent en première ligne, pour vous apporter les informations du terrain.