Madame la ministre, vous me parlez de ce qui est payé. Je vous parle, moi, de ce qui manque ! C’est la signature de l’État qui est en jeu.
Les agriculteurs s’engagent dans un dispositif ; ce n’est pas pour que, au bout du compte, on les abandonne. Il faut que la parole de l’État soit tenue. Il y va aussi de l’avenir de l’agriculture bio : les aides à cette agriculture sont passées de 110 euros à 92 euros par hectare et par an.