Ce qui me gêne dans ces débats, c'est qu'ils donnent l'impression d'opposer les humanistes, ceux qui veulent donner tout à tout le monde, sans limite ni contrôle – open bar ! –, aux rétrogrades qui ne veulent rien lâcher. En réalité, le débat est beaucoup plus subtil.
Un paramètre important n'a pas été évoqué : l'état de nos finances.