J'avais retenu que nos collègues de gauche, très soucieux de l'intégration, voulaient déployer des moyens dignes de ce nom en faveur de celle-ci. Or le choix de la gratuité représente, à ce titre, un effort assez extraordinaire.
On nous a expliqué tout à l'heure que, dans la mesure où nous ne sommes pas l'Académie de médecine, il ne nous revenait pas de dresser la liste des maladies susceptibles d'être prises en charge. Mais, à présent, nous devrions énumérer l'ensemble des moyens nécessaires à cette politique !
Mes chers collègues de gauche, j'ai beaucoup de respect pour vous. Je pense que vous n'avez pas plus de malice que les autres ; mais vos pas de côtés ressemblent tout de même un peu à des digressions et, dans vos interventions, je crois déceler un soupçon de mauvaise foi.