Elles ne doivent certes pas tout payer à la place des autres, mais elles ne peuvent pas pour autant s'exempter de tout, laisser l'État tout prendre à sa charge.
On peut défendre une vision étatiste et centralisatrice. Mais, selon moi, donner quelques heures à des femmes et des hommes pour l'apprentissage du français, ce n'est ni payer une formation ni mettre en péril l'activité économique des entreprises.
Nous voterons donc ces amendements.