Cet amendement vise à exclure du champ des discriminations l'application du principe de priorité nationale, notion centrale de notre programme plébiscité par 13 millions de Français à la dernière élection présidentielle.
La priorité nationale est la contrepartie logique et naturelle à la nationalité.
En effet, les Français doivent bénéficier d'un droit prioritaire – et non exclusif – chez eux dans l'accès au logement social, aux aides sociales ou à l'emploi.
Ainsi, il ne s'agit en rien d'une disposition de discrimination ou d'exclusion, mais c'est bien un droit logique et nécessaire, appliqué dans 95 % des pays du monde.
Je rappelle que le principe de la priorité nationale était également cher à Roger Salengro.