Je remercie Valérie Boyer et nos autres collègues d'avoir abordé cette question.
Vous avez expliqué, monsieur le ministre, les limites de cet amendement en termes juridiques ; pour autant, il répond à un problème réel.
Vous avez rappelé que le maire joue un rôle de protection. J'ai moi-même exercé cette fonction pendant trois mandats : ce problème s'accentue. Nous cherchons à protéger les femmes, parce que ces mariages gris ou ces faux mariages sont neuf fois sur dix demandés par des hommes cherchant à épouser des femmes souvent en difficulté et qui, parfois, croient au grand amour.