Désolée de vous le dire, je préfère me voir moi-même, monsieur Bonhomme…
Je trouve pour ma part intéressants les propos que vient de tenir M. Grosvalet, qui était président de département il y a encore quelques semaines. Vous remettez en cause les institutions, tout cela est bien gentil ; mais vous venez d’entendre ce que vient de dire notre collègue : il faut que l’État indique définitivement comment établir l’âge d’un jeune, avec des méthodes incontestables, …