Vous voyez que l’école de la République ne fait pas tout.
En France, aujourd’hui, un enfant sur six naît de deux parents étrangers hors Union européenne, quand c’était moins d’un sur dix en 2001. Depuis 2017, chaque année, ce sont plus de 60 000 personnes nées de parents non communautaires qui peuvent demander à bénéficier du droit du sol : 360 000 étrangers, soit l’équivalent de la population de Nice, ont pu devenir Français par le simple fait d’être nés sur le territoire national.
Pourquoi ce qui a été fait à Mayotte, avec la suspension du droit du sol, ne pourrait-il pas être fait en métropole ?
Selon l’Ifop, en 2018, 52 % des Français étaient favorables à la suppression du droit du sol. Ils étaient 58 % en 2020.
Un veau qui naît dans une écurie, cela ne fera jamais de lui un cheval !