Si je le précise, c'est parce que, trop souvent, on parle des petits pour protéger les gros !
Ce n'est pas là affaire d'imagination, madame la rapporteure générale : nos propositions résultent de notre lecture attentive des rapports, dont un certain nombre insistent sur la nécessité de dégager des ressources, non pas à hauteur de 2, 4 milliards d'euros, mais de 9 milliards d'euros !
Cela fait plusieurs années que ces rapports fournissent des pistes. Mais, chaque fois que nous proposons de les suivre, on nous objecte que leur mise en œuvre aura pour effet d'accroître les impôts. Monsieur le ministre, si, réellement, vous ne voulez pas de hausse d'impôt, commencez par ne pas toucher aux franchises !