Monsieur le ministre, vous pouvez développer ce genre d'arguments, mais nous vous répondons qu'à vouloir institutionnaliser de la sorte de travail des plateformes, vous le rendez parfaitement normal dans notre société.
Ce que nous voulons, c'est que la directive proposée à l'échelon européen soit appliquée.
Ce que nous voulons, c'est que ces plateformes n'existent plus, en tout cas plus dans la forme dans laquelle elles existent, et qu'elles arrêtent de traiter les salariés comme des sous-hommes.