La position de la France est simple : partout où l'on peut réduire les usages, conformément à la trajectoire que nous nous sommes donnée, nous le faisons ; et là où il y a des impasses, nous assumons aussi les positions qui sont les nôtres.
Nous continuerons donc à défendre au niveau européen la volonté de réduire l'usage du glyphosate ; dans le même temps, nous prenons acte des impasses dans lesquelles nous nous trouvons.
Enfin, monsieur le sénateur Salmon, les décisions et les propositions de la Commission européenne sont basées sur les préconisations de l'Efsa, dont les travaux ont été aussi alimentés par l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses).
La science ne saurait être à géométrie variable. §