Ne distillons pas une espèce de suspicion sur ces sujets ! Et je ne dis pas que c'est ce qui a été fait. Je ne crois pas du tout que les pharmaciens aient l'intention de se substituer aux médecins. Dès qu'ils auront un doute – tel est d'ailleurs l'objet de l'exercice coordonné –, ils renverront le patient vers le médecin.
Pour le coup, l'arbre décisionnel se situe bien en amont du risque. Peut-être l'ai-je déjà évoqué ici, je pense à une scène que beaucoup ont déjà vécue : à 23 heures, un samedi, on découvre qu'on a une cystite. §