Je le redis, si, dans le cadre de l'examen clinique, il y a une suspicion de pyélonéphrite, le pharmacien renverra le patient chez le médecin. Je n'ai aucun doute sur ce point, les pharmaciens n'essaieront jamais, ne serait-ce que pour des raisons déontologiques, d'aller au-delà des tâches qui leur sont confiées. Je parle donc d'une situation d'urgence pour laquelle il n'y a pas de suspicion de complication.
À mes yeux, le fait que le pharmacien soit un acteur de santé publique est une avancée. Il s'agit non pas simplement d'un partage de tâches, mais d'une mutualisation des compétences.