Une mauvaise idée serait de considérer tous les départements de la même manière et de les aider de manière uniforme. Cela ne correspondrait pas à la réalité territoriale. Diviser les 150 millions d’euros par cent n’aurait aucun sens.
D’ailleurs, cet abondement exceptionnel fera l’objet d’un amendement du Gouvernement, que ma collègue Aurore Bergé défendra le moment venu. Loin des caricatures, nous privilégions une approche réaliste de la situation des départements, situation qui est connue, avec une réponse individualisée. Comme la Première ministre l’a annoncé, la première étape figure dans ce projet de loi de financement de la sécurité sociale.