Cet abattement pour frais professionnels a été mis en place en 1991 à l’occasion de la création de la CSG par Michel Rocard.
Je vais être franc avec vous, madame la sénatrice : votre amendement, s’il était adopté, équivaudrait à une hausse d’impôt de 150 millions d’euros, notamment pour les salariés. Or toute notre politique vise justement à soutenir le pouvoir d’achat de celles et ceux qui travaillent.
J’émets donc un avis défavorable sur cet amendement.