Ces travaux tiendront compte de l’importance de l’échelon départemental, à une époque où nos concitoyens réclament de la proximité en toute chose.
Notre gouvernement a montré qu’il avait le souci de maintenir cette proximité et de la recréer là où elle n’existe pas suffisamment ou bien là où elle n’existe plus. Sur bien des sujets – aménagement du territoire, politique sociale, transition écologique et service public –, la maille départementale est une maille pertinente, qui permet de travailler à l’échelle d’un territoire cohérent tout en conservant une capacité d’action de proximité à laquelle nous sommes extrêmement attachés.
Notre réflexion se fera donc à l’aune du rôle essentiel des départements dans l’actuelle organisation territoriale. J’en suis convaincue, tout comme l’est la Première ministre, qui sait apprécier la juste contribution des départements à la vitalité des territoires, comme elle l’a souligné vendredi dernier.
Permettez-moi de rappeler, avant de conclure, le soutien financier que le Gouvernement a débloqué en faveur des départements : 150 millions d’euros pour l’autonomie, 100 millions d’euros pour répondre à la problématique des mineurs non accompagnés et 100 millions d’euros pour les départements en situation de fragilité. Oui, monsieur le sénateur, nous veillons sur nos départements.