Aujourd’hui, on constate un abandon de tout leadership sur la question.
La France a quitté le wagon de tête pour être en queue de train, avec un discours à géométrie variable. Un jour, le prétexte national pour l’inaction est la distorsion de concurrence avec nos voisins. Aujourd’hui, vous ne montrez aucune ambition à l’échelle européenne, alors que d’autres États membres ont pris des positions bien plus courageuses.
Monsieur le ministre, la France votera-t-elle contre la réautorisation du glyphosate ? Êtes-vous prêt à jouer votre rôle pour son interdiction rapide au niveau européen ?