Il n’y aura pas d’interdiction sans solution, car il faut tenir compte avec lucidité des impasses. Je n’ai jamais cru que les interdictions produisaient des solutions. Il faut donc rechercher des alternatives, en misant notamment sur la recherche.
Nous ne voulons pas d’un système consistant à mettre sous cloche une partie de nos territoires. Qu’il s’agisse de la forêt ou de l’agriculture, toutes les productions doivent demeurer viables économiquement. Voilà quelle sera la position de la France, y compris au moment de débattre sur la réglementation que vous évoquez.