Il faut cranter les dispositifs, continuer d’aider les viticulteurs mis à mal. Florence Lassarade l’a rappelé : certaines situations sont très compliquées et l’on compte déjà des suicides.
En attendant de trouver des stratégies et de connaître des jours meilleurs, il faut tendre la main à cette filière. Les chefs d’entreprise essaient en général de se débrouiller par eux-mêmes. Ce n’est pas par plaisir qu’ils nous demandent de les aider, mais parce qu’ils sont aux abois.
Il est nécessaire de voter ce dispositif, mais surtout de le conserver dans le texte final après recours au 49.3 !