Je suis également favorable à cet amendement.
Le secteur connaît des difficultés liées aux aléas climatiques, qui provoquent des baisses de rendements depuis dix ans, mais aussi à l’augmentation du coût des intrants, de l’énergie, de la bouteille ou des étiquettes. Ces hausses de coûts de production n’ont pas été répercutées dans les chiffres d’affaires des entreprises viticoles et mettent à mal leur trésorerie.
Je préfère une aide sporadique ciblée pour aider ces entreprises à passer le cap. À défaut, monsieur le ministre, ce ne sont pas seulement les cotisations patronales que nous perdrons, mais aussi les cotisations salariales.
En attendant la formule magique qui convienne à tout le monde, nous devons adopter ces aides temporaires.