Depuis quelques instants, nous faisons un tour de France des régions viticoles. Je ne peux que m’associer aux arguments exprimés en réponse à cette crise de la viticulture, qui témoignent tous de l’urgence particulière qui s’impose cette année.
J’invite ceux qui soutiennent cet amendement, sur toutes les travées, à déposer des amendements similaires lors de la discussion du projet de loi de finances. Je comprends l’intérêt de votre démarche, mais vous vous trompez de cible : vous diminuez les recettes de la sécurité sociale, alors que ce sujet devrait plutôt être traité lors de l’examen du PLF.