Je partage en tout point l’avis donné par le président de la commission. La procédure qui précède l’autorisation de ces produits prévoit en effet l’ouverture d’une concertation.
Je salue le travail des associations qui ont promu cette prise en compte, dénonçant le fait que la santé menstruelle soit considérée non pas comme un véritable sujet de santé publique, englobant les risques y afférents, mais comme une question qui concerne les seules femmes. Comme vient de le dire le président de la commission, ces associations, avec lesquelles le ministère travaille régulièrement, auront la possibilité de s’exprimer au cours de la procédure.
L’amendement étant satisfait, j’émets un avis défavorable.