En attendant le vote solennel, qui aura lieu mardi, je voudrais remercier, au nom de mes collègues du Gouvernement, les différents présidents de séance, le président de la commission des affaires sociales, Philippe Mouiller, la rapporteure générale, Élisabeth Doineau, ainsi que l'ensemble des rapporteurs, Corinne Imbert, Pascale Gruny, Olivier Henno, Marie-Pierre Richer et Chantal Deseyne.
Nos débats ont été riches et n'ont pas toujours été joués d'avance, contredisant certaines prédictions… De nombreux sujets ont émergé et j'en tiendrai compte : le volet prévention, la santé des femmes, la santé mentale, l'évaluation de la réforme des retraites, sujet qui est revenu très régulièrement cet après-midi, les médicaments, etc. Je serai toujours à la disposition de la commission pour lui répondre lorsque seront prises des mesures réglementaires dont l'impact sur les recettes serait important.
Je veux saluer également le travail de tous les collaborateurs du Sénat, mais aussi celui des membres des cabinets des ministres, de la direction de la sécurité sociale, de la direction générale de l'offre de soins et de la direction générale de la cohésion sociale, qui agissent au nom du Gouvernement et le servent loyalement, quels que soient leurs doutes et interrogations – ceux qui parmi vous ont exercé des responsabilités gouvernementales, mesdames, messieurs les sénateurs, le savent bien. Quand on met en cause le Gouvernement, il arrive qu'ils le prennent à cœur : je veux leur dire un immense merci. Ils nous aident à préparer les débats et à être le moins ridicule possible dans nos réponses aux interpellations de la Haute Assemblée. §