Je tiens donc à insister sur la nécessité de distinguer clairement ces centres de ceux qui sont gérés par d’autres entités. J’ai déjà évoqué le rôle de Ramsay, je n’y reviens pas.
Le rapport de l’Igas devra établir une distinction nette entre les structures à but non lucratif et les autres ; à défaut, nous risquerions d’encourager la marchandisation de la santé et sa financiarisation, ce qui serait inacceptable.