J’estime que ces préparations spéciales doivent rester du ressort des pharmacies à usage intérieur (PUI). Celles-ci font en effet l’objet d’une autorisation par les agences régionales de santé (ARS) et d’un contrôle des prescriptions plus contraignants que les pharmacies du réseau officinal, bien qu’une cinquantaine de ces dernières puissent effectivement se prévaloir d’une telle autorisation.
Quoi qu’il en soit, il revient aux pharmacies à usage intérieur d’assumer l’élaboration de ce type de préparations.
Le Gouvernement émet donc un avis défavorable.